NOM et prénom de votre personnage: Neville Londubat
Année à Poudlard: 5 éme
Avatar :Matthew Lewis
Description physique de votre personnage:
Neville a des cheveux noirs courts et des yeux marrons perpétuellement anxieux. Il se déplace de manière lente, certes, mais déterminée. Neville a un visage rond et semble avoir un léger surpoids. Il ne correspond pas à l'image traditionnelle d'un Gryffondor, courageux et vaillant. Pourtant, celui-ci possède sa propre forme de courage, n'hésitant pas à tenir tête à d'autres Gryffondor, ou à attaquer Crabbe et Goyle même en sachant qu'il n'aurait pas le dessus.
Personnalité de votre personnage:Il est assez timide par nature et aussi nerveux . Il peut etre aussi tres inquiet lorsque un de ses ami est en dangers mais surtout il est tres serviables envers les autres.
Histoire/enfance de votre personnage
Comme beaucoup de bambins l'ont fait, le jeune Neville aurait pu connaître une enfance joyeuse et insouciante, marquée par les bobos typiques à tout enfant découvrant le Monde (et, en même temps, que les branches d'arbre ne sont pas si solides qu'elles le paraissent ou encore que descendre la pente à vélo sans freiner n'est peut-être pas une idée si brillante que cela, tout compte fait) et les gâteaux au chocolat.
Malheureusement, comme (trop) d'enfants, le bambin qu'était Neville il n'y a pas si longtemps encore, a vite appris qu'enfance et insouciance ne rimaient pas pour tout le monde. Agé d'un an lorsque survint ce que sa Grand-Mère paternelle, dans un élan de pudeur tragique assez inquiétant chez une femme aussi terre-à-terre, nomme le "Drame" (Neville ne l'a pas ailleurs jamais vu le mot écrit mais il se doute, rien qu'à l'intonation de la voix de l'aïeule que la majuscule est de rigueur), Neville n'a rien connu de la tendresse parentale, du moins rien qu'il puisse aujourd'hui se remémorer avec émotion.
Physiquement et mentalement détruits par des mangemorts revanchards, Franck et Alice Londubat semblent devoir passer le reste de leur existence cloîtrés à Sainte Mangouste. En un sens, selon Neville, mieux vaut-il pour eux qu'ils ne soient intellectuellement pas en mesure de réaliser l'aspect pitoyable de la situation. A chacune de ses visites - fréquentes et prévisibles quant à leur déroulement - Neville a l'impression qu'une main invisible prend un malin plaisir à lui enserrer la gorge tandis qu'une de ses collègues réduit ses gambettes à l'état de sac de coton.
Car le vide qu'ont laissé derrière eux les Londubat ne peut, et ne pourra jamais, être comblé par une grand-mère, certes aimante, mais stricte et peu portée sur les marques d'affection (elle connaît McGonagall, ça en dit déjà long...). La vieille femme attend trop de son petit-fils, The Londubat mâle restant et prié, de ce fait, de se hisser au niveau de l'illustre lignée (du moins illustre selon ses membres). Pour un petit garçon, la pression est bien trop grande.
Enfant solitaire et rêveur, Neville a fait de son crapaud, Trevor, ancien "compagnon" de son père, son unique confident. Petit, il pensait que Trevor était un avatar de Merlin ou autre grand sorcier de ce type, injustement victime d'un mauvais sort (malheureusement, aucune des fillettes de l'école n'a jamais voulu lui filer le bécot salvateur). Avec le temps, il a compris que Trevor n'était rien d'autre qu'un crapaud dont les seules caractéristiques étaient un QI inférieur à celui de la crevette congelée ainsi qu'un goût prononcé pour la fugue.
Quoique sa grand-mère n'ait officiellement jamais exprimé ses craintes de voir Neville cracmol - ce qui, de sa part, relève d'une subtilité hors norme - l'arrivée de la lettre d'inscription à Poudlard de Neville a été accueillie avec un soulagement plus que visible et significatif. Pour le garçon, elle a plutôt été synonyme de crampes à l'estomac.